vendredi 23 janvier 2009

Gribouillage inconscient d'une matière grise ankylosée

Avec les yeux d’un chevreuil, je vois venir l’industrie. J’ai peur du cancer pi des oiseaux. Veux-tu que je t’aide à t’enfuir? La vie est plus belle vue d’une poubelle. Je crois que mon corps touche le fond du gâteau. Avec ben de la volonté, je pense qu’enfin je mourrai. Dans ce petit pot, un peu de mayo. Penses-tu qui sont tous là pour le père tout cuisant? J’ose croire que ses yeux pleins de corbeaux vont varier pi décider de s’en aller. Même si tu dis oui, j’pense que la réponse est colorée.

Trouves-tu qu’on s’attarde trop souvent au caractère des ruisseaux? J’ai de la misère à me tirer les roches du nez. Avec un peu de musique tout s’écrit. On comprend l’amour quand on le pousse dans le fossé. Crois-tu aux raisins? J’imagine que tes plans étaient différents. J’élabore celui de mon évasion. J’entreprends avec tendresse de t’arracher le cœur, le vider pi le remplir de vin. J’en ai plein d’idées. Ma mère me dit souvent de faire attention aux crabes mangeurs de femmes. Une fois dans ses pinces, t’es faites ma fille! Cours vite te cacher dans l’eau!

Aucun commentaire: