mercredi 2 novembre 2011

Ni le début, ni la fin. Juste un bout du milieu. Le reste, il s'en vient...

[...] J’aimais l’odeur que dégageait ton corps en sueur. Tu l’as remarqué. C’est Calvin Klein. Ça aurait été Walt Disney pi j’aurais trouvé ça bon pareil. J’ai respiré longtemps dans ton cou, dans tes bras. Comme si on se connaissait depuis toujours. Ta semi ne mentait pas. Ta franchise m’a fait sourire. C’est fou comment t’es 6 pieds 1 s’imbriquaient bien dans mes 5 pieds 2. T’as passé ta main dans mes cheveux déjà défaits. T’es belle. T’avais les yeux brillants; je me voyais dedans. Tu t’es couché sur moi. Tu m’écrasais un peu, mais ça ne me dérangeait pas. J’aurais pu mourir asphyxiée. J'en n’avais vraiment rien à foutre...[...]

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