T’étais là dans l’entrée, avec ton sourire
de cave un peu croche. Le néon dévoilait bien ton teint couleur vomi. Tu me
fixais, rejetant ta vie en petits morceaux. Je t’avais pilé sur l’orgueil. T’étais
toute la misère du monde pi j’avais aucune pitié. Tu me puais ton air d’ivrogne
au visage. T’as mâché t’es une crisse
d’agace. Je t’ai crié que tu ne savais pas vivre. T’as repris ton char. Tu m’as laissé tes bas sales.
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