À cette vie qui m’étouffe et m’entraîne vers la mort surgit soudain cette étrange impulsion. Comme l’agression subtile de la houle, qui m’entraîne et s’acharne sans relâche aux désirs d’incertain. Je mettrai le feu à ces murs de prison, je soufflerai ma rage sur cette florissante infection. Puis je partirai en fumée.
Et vous n’aurez que la trace de mes cendres éphémères pour vous chuchoter que le temps est bien bon mais que tout comme la mer, il ronge même les plus imposants repères. Des tempêtes et des pluies ne restera que le cerne ternis de l’illusion parfaite de cette Sainte vie.
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